Forum|Maccaclub

Pour ceux qui ont besoin d'une traduction... désolée, elle fut faite rapidement entre deux paquets de copies...

NOTE – les traductions ne concernent que les parties mentionnant Paul McCartney

Si l’on en croit le mythe populaire, il n’existe qu’une Heather Mills: une harpie irascible qui a épousé puis divorcé de Paul McCartney, ce qui l’a propulsée au rang de Lady Mucca – en d’autres termes, la femme la plus haïe de Grande-bretagne [Note : Muck = bouillasse]

[Puis l’article parle de sa reconversion dans le ski Paralympic, sport dans lequel elle est 28eme mondiale en slalom]

Elle partage ensuite quelques remarques sur son mariage avec Paul (« j’étais totalement amoureuse, il était un peu comme mi-Peter Pan, mi-Capitaine Crochet »), sa fille Beatrice (« elle est très intelligente, très loyale… je ne nie pas qu’elle est privilégiée, mais elle n’est absolument pas gâtée-pourrie ») … Mais pour elle, plus dur encore que de perdre sa jambe dans un accident de la circulation en 1993 fut son divorce « Je suis devenu comme toxique, j’avais l’impression d’avoir tout perdu »)

[…]

Elle participe en ce moment à un programme de télé réalité, The Jump [Note : programme de ski un peu extrème semble-t-il…] et elle est déterminée à gagner. Après tout, cette femme a jeté un pichet d’eau à la figure de Fiona Shackleton, la redoutable avocate de Paul McCartney, en plein milieu d’un divorce mettant en jeu des millions de livres sterlings.

L’article revient ensuite sur sa vie digne d’un roman de Dickens avant sa rencontre en 1999 avec Paul McCartney au ‘Pride of Britain Award’.  (père violent, mère partie, pas d’argent…)

Après son mariage avec Paul, certaines de ces histoires ressortent au grand jour, et certains pensent que ce ne sont que des affabulations, ce que réfute Mills. Elle regrette cependant ne pas s’être défendue à l’époque de ces allégations : « je n’ai rien dit car j’ai été conseillée [par McCartney] de ne rien dire » mais peut-être que sa plus grande erreur fut d’épouser McCartney. Comme l’avait dit auparavant Yoko Ono : « Epouser un Beatle signifie que toute la planète se retourne contre vous » Mills ajout : »J’aime Yoko, c’est une femme sage. Et oui, c’est souvent très difficile d’être mariée à un Beatle. Ce fut dur pour Linda, pour Yoko… et avec ce qui m’est arrivé après le divorce, je me dis que perdre ma chance a été chose plus aisée… »

Le regrette-t-elle ? Non : « j’ai épousé Paul parce que j’étais follement amoureuse. Il avait tant d’énergie -  il était un peu comme mi-Peter Pan, mi-Capitaine Crochet. Mais je n’étais même pas une fan des Beatles. Je connaissais à peine quelques chansons. J’aimais bien une chanson des Wings, et c’était tout. Mais il aimait ce côté-là… mais quiconque pense que se marier à une rock star, c’est le paradis, se trompe ! »

Pour des raisons légales, elle ne peut pas trop parler de McCartney. Dans les papiers du divorce, Mills reçut la coquelle somme de 16.5 millionqs de livres sterling et des biens d’une valeur de 7.8 millions dont des propriétés qu’elle possédait avant le mariage. Elle était donc riche avant de le rencontrer et c’est elle qui a insisté pour que leur relation reste secrète six mois avant de l’annoncer publiquement.

Si on lui demande pourquoi, à son avis, les choses ont mal tourné, elle répond : « Je dis ce que je pense. Si je crois que quelque chose ne va pas, je le dis. Si je n’étais pas comme ça, nous serions encore mariés. Pendant des années j’ai été attirée par ces hommes forts et puissants qui pensent vouloir être avec des femmes fortes mais qui, en réalité, veulent quelqu’un qui fait ce qu’ils veulent. Ceux qui paraissent forts manquent en réalité d’assurance. Mais j’ai mis fin à ce cercle vicieux»

Sa famille et ses proches se sont beaucoup inquiétés pendant – et surtout après la séparation. Les enfants de Mccartney n’ont pas caché leur haine pour elle, et la presse l’a traitée de menteuse, de femme vénale et même de star du X. Son ‘pétage de plomb’ de 2007 à la TV est resté célèbre. Maintenant on est mal à l’aise en le voyant.

Après tout ça, on lui a demandé de quitter des causes charitables comme Peta ou Adopt a mMnefield car elle était devenue comme toxique.

La suite insiste sur sa générosité et sur le fait qu’elle n’est pas intéressée par l’argent. Elle ajoute qu’elle détestait la vie sur les routes avec Paul McCartney, stressée par les fans alors qu’elle venait d’avoir Beatrice.

Elle parle ensuite de sa fille – qui l’a poussée à faire l’émission – elle dit qu’elle est son seul ‘contact’ avec McCartney. Beatrice est loyale et intelligente, elle veut faire de la biologie marine. Elles reviennent d’ailleurs d’un voyage en Arctique pour observer de rares baleines à défenses. Pour elle sa fille est vraiment formidable et, malgré tout ce qui s’est passé, elle ne serait pas là sans son père.

La suite insiste sur le ski paralympique. Le journaliste explique ensuite que Mills ne se comporte pas avec ce style régalien que possède les femmes de Beatles (comme Olivia Harrison ou Nancy Shevell) parce qu’elle aime s’amuser.

La dernière question sur McCartney : si elle se tient au courant de ce qu’il fait – elle avoue que non, et que la dernière fois qu’elle a fait attention à quelque chose, c’était au moment des critiques envers lui lors de la cérémonie d’ouverture des jeux olympiques de 2012 « J’ai «été vraiment désolée pour lui car je sais à quel point les critiques ont du le blesser » Lui manque-t-il ? elle secoue la tête « Quand je l’ai épousé, j’ai pensé que je serai protégée mais ce ne fut pas le cas. J’ai été jetée en patûre – la pire chose qui me soit arrivée, y compris mon amputation. Les gens que je rencontre sont gentils avec moi. En Autriche, on ne me connaît pas grâce à Paul mais grâce au sport et au ski."