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High In The Clouds va être adapté au cinéma

En 2005, Paul McCartney avait publié le roman d’aventure High In The Clouds avec la collaboration de Philip Ardagh et les illustrations de Geoff Dunbar. Gaumont vient d’annoncer qu’une adaptation en film d’animation 3D arrivera au cinéma prochainement. Le film est réalisé par Toby Genkel et écrit par le scénariste Jon Crocker (Paddington 2).

Synopsis : Après avoir accidentellement déclenché une révolution contre la chouette Gretsch, une diva autoritaire qui a banni toute musique de sa ville, un écureuil adolescent nommé Wirral se lance dans un voyage extraordinaire pour libérer la musique.

Sur la bande originale, Paul McCartney est accompagné par le compositeur Michael Giacchino (Ratatouille, Là-haut, Vice-versa, Coco), lauréat d’un Oscar et d’un Golden Globe.

Le film va bénéficier d’un casting voix exceptionnel réunissant Céline Dion, Idris Elba, Lionel Richie, Ringo Starr, Jimmy Fallon, Clémence Poésy, Hannah Waddingham, Pom Klementieff et Alain Chabat. 

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Paul par Hervé Bourhis

Le dessinateur et scénariste Hervé Bourhis vient de publier Paul, qui raconte la fin des Beatles et le début de la carrière solo de McCartney et de son groupe Wings. Pour Maccaclub, il revient sur ce projet enthousiasmant.

Bonjour Hervé. Comment êtes-vous tombé dans l’univers des Beatles alors que vous êtes né en pleine période Wings ?
Par le livre, à 14 ans. À la maison, personne n’écoutait les Beatles. On m’a offert le petit livre carré de Jacques Volcouve en 1988 (édition France Loisirs !) et j’ai adoré l’histoire, les photos. J’ai connu le détail de chaque album, chaque chanson avant de les écouter ! Je m’y suis mis progressivement, en cassettes, dans mon walkman. D’abord Sgt. Pepper’s, puis Magical Mystery Tour, puis Abbey Road, puis les Past Masters, etc.
C’est très vite devenu une obsession. J’habitais Tours, et à 16 ans j’allais en train à Paris acheter des « Beatles Book Monthly » chez les disquaires de collection…
J’ai découvert les Wings par Wild Life, un peu après. Un vinyle pas cher chez un brocanteur. J’ai hésité à cause de la pochette, que je ne trouvais pas très excitante… Mais dès que j’ai entendu « Mumbo », j’ai su que c’était un super album !

Vous aviez déjà publié Le Petit Livre des Beatles en 2019. Était-ce agréable de rendre hommage à l’un de vos groupes favoris ?
La première version est même de 2010. Oui, bien sûr, j’ai été un an en immersion totale, à l’époque, c’était génial, et surtout ça me donnait une raison d’acheter de la documentation, c’est-à-dire des disques et des livres que je n’avais pas. Le livre a bien marché, a été traduit dans 9 langues, donc c’est forcément un super souvenir !

Vous récidivez donc avec Paul, qui retrace le parcours de McCartney de la fin de l’enregistrement de Abbey Road à la rencontre avec John Lennon au printemps 1974. Vous racontez ce musicien qui repart presque de zéro. C’est ce qui vous a intéressé ?
Oui, il y a beaucoup de raisons à cela. D’abord, il avait raison contre tout le monde.

  • Contre les fans de rock qui le trouvaient ringard, dans sa musique et son mode de vie (que tout le monde trouve cool aujourd’hui !)
  • Contre les trois autres Beatles au sujet d’Allen Klein
  • Et effectivement, cette histoire de faire un petit groupe avec des musiciens inconnus, louer un van et partir faire une tournée des clubs étudiants en plein mois de février, c’est incroyable !
    Et puis sa renaissance difficile après sa dépression, j’ai dû m’identifier, ayant eu un infarctus il y a trois ans…
    C’est une histoire qui est peu connue, je m’en rends bien compte vu le nombre de messages que je reçois de gens qui découvrent cet épisode.

Le récit est très précis, sans puiser dans la fiction et en accentuant quelques anecdotes marquantes. Vous maîtrisez bien le sujet.
Merci, il doit y avoir des erreurs, mais globalement je fais très attention à la véracité des faits et des images. Je suis par exemple allé chercher sur les forums d’anciens étudiants des universités où les Wings sont passés en 72, pour trouver des photos des locaux, des concerts. À quoi ressemblait cette autoroute vers le nord-est de l’Angleterre, les panneaux de signalisation… Mais aussi le fameux studio EMI de Lagos, la villa de Malibu à la fin, la cuisine de Cavendish, etc. Des choses visuelles qui ne sont forcément pas dans les biographies de McCartney où il y a peu d’images.

Les dessins s’appuient souvent sur des clichés d’époque. Était-ce important pour vous ?
Oui, je suis maniaque sur le sujet, alors même si je n’ai pas un dessin hyperréaliste, ça doit être crédible.

Quel est votre Beatle préféré et le plus facile à dessiner ?
Préféré, c’est sans doute Paul, mais c’est le plus difficile à dessiner. Je peux faire John les yeux fermés, mais pas de bol, ce n’était pas le sujet de mon livre !

Vous êtes dessinateur et scénariste. Quelle tâche préférez-vous entre les deux ?
Eh bien, l’entre-deux, figurez-vous. Entre le scénario écrit et la planche de BD, il y a l’étape du storyboard, où tout se cristallise. C’est ce que je préfère, parce que la structure du livre devient concrète. La suite, c’est vraiment un long processus de mise au propre sur storyboard !

Peut-on s’attendre à une suite ou à une série de volumes retraçant la carrière de McCartney ?
Non, parce que selon moi, après les Beatles, j’ai raconté dans ce livre la période héroïque de Paul.
Après, c’est une succession d’albums, de tournées, de vacances, de succès, ça me semble moins épique. Je me vois mal raconter l’enregistrement de Press to Play… Mais raconter des moments-clés des trois autres, pourquoi pas ? C’est trop tôt, je dois d’abord digérer celui-ci.

Avez-vous envie d’explorer la carrière des autres Beatles en solo ?
Je ne sais pas encore. Par contre, avec Julien Solé, on a raconté une uchronie Beatles dans Retour à Liverpool (Futuropolis), dans lequel on imagine une reformation du groupe en 1980.

Vous avez publié des BD sur d’autres styles musicaux : Black Music, French Pop ou le rock en général. C’est ce qui vous intéresse le plus ?
Je parle souvent de musique, c’est ma passion, et je suis DJ aussi, en parallèle (ça fait vivre ma collection de disques !). Mais mes livres ne parlent pas que de ça. J’ai fait de la BD jeunesse, de la fiction, du polar. J’aime bien explorer tout un tas d’univers. Mais c’est vrai que la musique n’est jamais loin dans mes livres.

Avez-vous des projets pour la suite ?
Oui, bien sûr. Par exemple, le tome 3 d’American Parano sort le 6 juin. C’est avec Lucas Varela, chez Dupuis, et c’est un polar qui se déroule à New York en 1968.

Un grand merci à Hervé Bourhis pour cette interview.

Propos recueillis par Dominique Grandfils

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Paul McCartney célèbre les 50 ans de Venus and Mars

Le 27 mai 1975, le groupe Wings publiait l’album Venus and Mars. Le successeur de Band On The Run allait confirmer le succès grandissant du groupe de Paul McCartney qui allait se propager jusqu’à la tournée américaine de 1976.

Venus and Mars a déjà fait l’objet d’une réédition dans le cadre de la série Archives Collection. Cette fois, McCartney propose une version Half-Speed qui ravira les collectionneurs et les fans dont la copie d’origine est trop usée.

Pour l’occasion, Paul a dévoilé des extraits de la tournée anglaise de 1975.

Retrouvez toutes les infos sur l’album Venus and Mars et l’histoire de Wings dans le livre : « Paul McCartney les années Wings 1970-1981 » (Amazon).

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Le retour gagnant d’Arnaud Simon

Nous avions découvert les chansons d’Arnaud Simon à la fin des années 2000, et sa pop, fortement inspirée par un certain Paul McCartney, ne nous avait pas laissés indifférents. Après une parenthèse de quelques années, Arnaud revient avec « Circulation du Bonheur » et des concerts à Bayonne et Paris, avant de dévoiler de nouveaux titres à l’automne prochain.

Arnaud, peux-tu nous résumer ton parcours musical ?

J’ai eu trois périodes dans ma vie. La première avec Artefacts, un groupe de potes de lycée avec lequel on est allés aux Francofolies et avons fait la première partie de Carlos Santana. On a fait deux albums, des concerts à Paris dans les années 90. En 2010, j’ai signé avec un producteur et publié l’album « Pourquoi pas l’Angleterre ? ». On a fait quelques concerts et des télés. Le producteur a lâché, car financièrement, il ne pouvait suivre à un moment où cela aurait été intéressant de caler une tournée pour enfoncer le clou, parce qu’il se passait des choses. Ce n’était pas une explosion, mais on sait qu’une carrière se construit pas à pas. L’an dernier, je me suis dit que je n’avais pas achevé quelque chose. J’avais des morceaux qui étaient dans les tiroirs, que je n’avais jamais sortis. En les réécoutant, je les trouvais bien. Parfois, tu fais des trucs, tu laisses passer du temps et tu peux ne pas te reconnaître. Et là, en l’occurrence, si. J’en avais même qui résonnaient encore plus en moi aujourd’hui. Et ça a réactivé l’envie d’écrire, de composer. Entre-temps, avec les anciens du groupe Artefacts, on se retrouvait une fois par an pour faire un concert d’été sur la plage. C’est devenu une sorte de rendez-vous incontournable avec toutes les générations. Ces concerts avec Jax m’ont redonné du jus. L’envie d’exprimer des choses, de trouver un certain équilibre, cette impression d’inachevé, tout ça s’est mélangé pour me donner une sorte de grinta et d’envie de faire de la musique. Peut-être même encore plus que quand j’avais 20 ans, bizarrement.

Tu dis que tu ne t’es pas autorisé à être un artiste ?

Je pouvais faire d’autres choses, c’est vrai. Peut-être à cause du syndrome de l’imposteur dont on parle beaucoup. Pour moi, ce n’était pas vraiment cela. C’était le syndrome de celui qui se demande ce qu’il va ajouter à toute cette œuvre qui existe déjà. Des morceaux exceptionnels comme ceux de McCartney ou des auteurs français. Qu’est-ce que j’apporte, moi ? OK, je sais chanter, je sais écrire des chansons, mais je me posais des questions par rapport à ce qui existait déjà. Ce qui est une connerie, car en réalité, il faut lâcher ça, penser avec son cœur et ses tripes et dire : « J’ai un truc à dire, je le sors. C’est peut-être bien ou pas bien, mais c’est mon truc. » J’ai commencé à écrire des choses plus profondes. Dans mes concerts, je reprends les chansons anciennes qui résonnent encore beaucoup pour moi et des nouvelles qui sortiront en octobre. Et je me suis rendu compte qu’il y a comme une cohérence.

Pendant ta parenthèse professionnelle, tu as continué à composer ?

J’ai écrit un EP resté inédit qui s’intitulait « Sun », inspiré par les Landes où j’ai grandi. Pas que ça, mais il y avait toujours en filigrane l’environnement de l’océan, des espaces. Et on a refait des concerts à Paris à cette époque. Ces morceaux n’ont pas été enregistrés, sauf « La Bière du Vendredi à l’Hôtel Sovereign ».

Tu maîtrises remarquablement les réseaux sociaux pour promouvoir ta musique. Ce n’est malheureusement pas le cas de tous les artistes.

Je prends tous ces outils comme des leviers artistiques qui doivent servir ton propos. Ça prend un peu de temps, mais je m’amuse. Je ne prétends pas être un pro du digital, mais ça a le mérite d’être authentique. Mon fils m’a dit que je faisais des posts de boomer. Ça m’a piqué, mais, même si tu évolues dans les montages, tu as quand même une sensibilité qui est celle d’une génération. J’aime le fait d’événementialiser ce que tu fais, partager. Mais j’ai toujours du mal à communiquer si je n’ai rien à dire.

Tu vas enregistrer tes nouveaux morceaux en mai 2025.

Oui, une histoire sympa d’ailleurs. On m’a proposé d’enregistrer dans un studio à l’ancienne qui appartient à Quiksilver à Saint-Jean-de-Luz. Le lieu est incroyable, à 300 mètres de l’océan. On a constitué l’équipe : Xavier Delpech, qui avait produit « Pourquoi pas l’Angleterre ? », qui est batteur et va travailler sur le mix avec l’ingé son résident. Yoann Roy, le bassiste, vient d’un univers plus rock que moi. Je l’ai appelé pour travailler sur ce disque et il m’a dit : « C’est un grand oui. » Ce sont des choses qui font extrêmement plaisir. Philippe Bouthemy va venir jouer des claviers. Il fait du funk sous le nom de Magoo et est très talentueux. Comme le lieu est incroyable, le réalisateur du clip de « Circulation du Bonheur » sera en résidence avec nous, en immersion pendant l’enregistrement. On va en sortir un mini-doc.

Pourquoi le ukulélé sur « La Circulation du Bonheur » ?

J’avais ce ukulélé sur lequel je jouais très peu de morceaux, car ce ne sont pas les mêmes positions des doigts que pour la guitare. Je jouais trois morceaux : « Between the Devil and the Deep Blue Sea » de George Harrison, « Ram On » de McCartney et un morceau de Hugh Coltman. Ce que j’adore dans cet instrument, c’est qu’il a un côté très léger, futile, jovial, mais il a aussi énormément de mélancolie. Le morceau « Circulation du Bonheur » est très mineur sur les couplets et assez majeur et enjoué sur le refrain. Le point de départ de cette chanson est la perte de deux amis décédés. Je pense souvent à eux et j’ai la chance d’être là. Il ne faut pas se pourrir la vie pour des choses qui n’en valent pas la peine. Il faut savoir être positif. C’est une quête et j’ai du mal. Je ne suis jamais complètement heureux ni complètement triste. Ce morceau évoque cela.

Qui t’accompagne en concert ?

Benoît Ribaucour, le nouveau guitariste de Jax, m’accompagne à la guitare électrique. Il colore beaucoup et met du jus sur les chansons. C’est intime, mais il y a de la puissance. J’aime que dans un concert, on passe par toutes les émotions avec des couleurs différentes. Si tout se passe bien, j’ai envie de faire une version scène à quatre ou cinq musiciens.

Paul McCartney t’a beaucoup influencé ?

C’est plus qu’une influence. C’est tellement une influence que ça devient écrasant. Le talent, le chant, la composition, la façon dont il marie les accords. Quand j’étais jeune, j’ai voulu acheter le 45 tours des Buggles « Video Killed the Radio Star ». Je me suis trompé et j’ai pris un 45 tours de Wings « Goodnight Tonight ». Quand j’ai entendu la face B « Daytime Nighttime Suffering », pour moi, c’est du génie absolu. Le début avec ces harmonies vocales est incroyable. Franchement, je le conseille à tous ceux qui pensent connaître McCartney mais qui n’ont pas écouté ce morceau. Il y a tout sur ce titre : une mélodie incroyable, le couplet qui a un côté un petit peu rock, son chant qui est juste dingue et le texte. Ce morceau m’a complètement renversé. Je l’ai écouté en boucle et ça m’a donné envie d’écrire. Je jouais de la clarinette et j’ai demandé à mes parents d’acheter une guitare. Même si je ne savais faire que trois accords, je commençais déjà à écrire des chansons. C’est pour ça que je dis que je me sens songwriter. Je ne sais pas si c’est très modeste de dire cela. Je ne suis pas un très grand chanteur ni un grand guitariste, mais mon moteur premier, c’est d’écrire des chansons.

Sur ton premier album, la chanson « Serre-moi » évoquait les Beatles et le concert sur le toit de janvier 1969.


Exactement. Je la joue toujours. Je l’aime beaucoup, car elle m’évoque beaucoup de choses. Elle est née de deux choses : d’une photo que j’avais vue, prise depuis le toit, où tu vois probablement un homme d’affaires britannique qui passe en bas de la rue. S’est-il rendu compte du moment historique ? Chanter ou crier sur les toits, c’est un signe de vie très fort et de domination dans le bon sens du terme. J’ai essayé de mélanger tout ça.

Tu n’as pas eu l’envie de composer pour d’autres artistes ?

Une artiste m’a recontacté récemment pour écrire des textes. C’est quelque chose que j’aimerais beaucoup faire. Je peux mettre ce talent-là au service d’autres artistes.

Quels sont tes projets après les concerts de Bayonne et Paris, puis l’enregistrement des chansons ?

J’aimerais refaire de la scène à l’automne 2025. À quatre musiciens ou à deux, formule plus flexible, moins chère. L’objectif, c’est de jouer.

Arnaud Simon sera en concert le 15 mars au Spot du Linge de Bayonne (64) et le 2 avril au Solo, 138 Bd Richard Lenoir 75011 Paris.

Vous pouvez gagner 2 places pour le concert du 2 avril au Solo. Envoyez-nous un mail à : contact@maccaclub.com

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Des concerts-surprises de Paul McCartney à New York.

Paul McCartney s’est produit au Bowery Ballroom de New York, ce 11 février 2025. Un concert surprise annoncé dans la matinée. Les fans se sont rués vers la salle où les billets étaient vendus en exclusivité. En une heure, les 575 billets ont trouvé preneur. Dans la soirée, Paul et son groupe ont offert une prestation de 20 titres sans nouveauté. Les téléphones et les caméras n’étaient pas autorisées. McCartney expliquera peut-être les raisons de ce show très inattendu qui a ravi les rares chanceux.

Paul McCartney a récidivé le lendemain avec une setlist différente :

Dans la matinée du jeudi 13 février, les fans ont à nouveau attendu devant la salle dans l’espoir d’un nouveau concert le soir même. Leur patience a été récompensée puisque McCartney a annoncé un nouveau show pour le lendemain avec une vente des billets à midi.

Ce concert de la Saint Valentin a donné lieu à de nouveaux changements dans le répertoire.

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Paul McCartney : Ne laissez pas les musiciens se faire arnaquer!

Paul McCartney a exprimé ses inquiétudes concernant des changements proposés aux lois sur le droit d’auteur, qui pourraient permettre aux développeurs d’intelligence artificielle (IA) d’utiliser le contenu des artistes et musiciens sans autorisation explicite, à moins que les détenteurs des droits ne se désinscrivent eux-mêmes. Lors d’une interview rare accordée à l’émission Sunday with Laura Kuenssberg sur la BBC, McCartney a averti que ces changements pourraient favoriser des technologies de « pillage », mettant en danger les moyens de subsistance des créateurs.

Évoquant son expérience en tant que jeune musicien à Liverpool, McCartney a souligné qu’il avait trouvé un métier qui combinait passion et revenu. Il a mis en garde contre le fait que supprimer les incitations pour les artistes pourrait entraîner une « perte de créativité ».

Le gouvernement, de son côté, a déclaré que son objectif est de créer un cadre juridique en matière de droits d’auteur qui garantit un « contrôle réel » et une transparence pour les créateurs, tout en offrant une certitude légale à l’ère de l’IA.

(Photo : D. Grandfils)

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Les 11 ans de Maccaclub !

Bon Anniversaire à Maccaclub qui fête ses 11 ans, ce 11 janvier 2025.

Pour les 10 ans, nous formulions le voeux de retrouver Paul McCartney en concert. Il fut exaucé avec deux belles soirées inoubliables, début décembre.

Pour cette nouvelle année, nous espérons pouvoir écouter ce nouvel album déjà annoncé. Encore de beaux moments à vivre ensemble. Maccaclub sera toujours présent pour vous donner toutes les informations concernant notre cher Paul. Merci à tous les Maccaclubeurs.

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Bonne Année 2025

L’équipe de Maccaclub vous souhaite une belle année 2025. Nous aurons certainement la chance de pouvoir écouter et apprécier un nouvel album de Paul McCartney. Restez fidèle à Maccaclub pour découvrir toute l’actualité de Paul et de l’univers Beatles.

Photo Paul McCartney Paris 05/12/2024 : Dominique Grandfils

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Hot City Horns

The Hot City Horns, la section de cuivres à trois instruments qui accompagne Paul McCartney en tournée a été créée il y a environ huit ans par Mike Davis et Paul Burton, qui ont tous deux obtenu leur diplôme en 2008 à la Liverpool Institute of Performing Arts (LIPA) fondée par Paul. Le saxophoniste Kenji Fenton, qui a étudié au Royal Northern College of Music de Manchester, les a rejoints par la suite. Ils ont accompagné Robbie Williams, Madness ou Jennifer Hudson.

Leur première collaboration avec McCartney eu lieu en août 2018 à la gare Grand Central de New York.

Ce trio de cuivres apporte vraiment une valeur ajoutée au concert en apparaissant au milieu de public pendant Letting Go et en mettant l’ambiance avec quelques danses endiablées.

Photos : Dominique Grandfils

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Paul McCartney termine sa tournée Got Back avec Ringo Starr

Après ses deux concerts parisiens, Paul McCartney s’est produit à Madrid avant de regagner son pays natal pour deux shows à Manchester.

À l’approche des fêtes de fin d’année, il n’a pas hésité à interpréter son « Wonderful Christmastime » avec une chorale d’enfants.

Ces 18 et 19 décembre, Paul a terminé ses concerts de l’année 2024 à L’O2 Arena de Londres comme pour ses tournées précédentes. Pendant cet ultime prestation, Macca a utilisé sa basse Höfner qu’il a récupérée récemment après avoir été dérobée en 1972. Comme en 2018, son ami Ron Wood, infatigable guitariste des Rolling Stones était présent dans le public, tout comme Ringo Starr et son épouse Barbara. Ron est monté sur scène pour « Get Back » puis on a installé une deuxième batterie afin d’accueillir Ringo pour un final que n’oublieront jamais les spectateurs présents.

Chaque fan présent à un concert de ce Got Back Tour mesure la chance et le bonheur de pouvoir applaudir McCartney en 2024, mais cette soirée à Londres avait une saveur supplémentaire.