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Les fans français vont retrouver Paul McCartney

Après des semaines d’attente, les fans de Paul McCartney vont enfin se réunir à la Défense Arena, ce mercredi 28 novembre 2018, pour retrouver leur musicien préféré.

Après une tournée japonaise triomphale et une vingtaine de jours de repos, Paul débute sa tournée européenne par un concert parisien. Comme la plupart des spectateurs, il découvrira cette nouvelle enceinte située en périphérie, dans le quartier de La Défense Nanterre. Une salle plus vaste que l’Accorhotels Arena (Bercy) puisqu’elle peut accueillir 38 000 personnes.

Ce sera également l’occasion de découvrir la section de cuivres qui accompagne l’ex-Beatle. Une grande première depuis la dernière tournée de Wings, en décembre 1979. Un apport essentiel pour quelques titres du répertoire. Espérons que la voix de McCartney, objet de toutes les inquiétudes et de tous les sarcasmes depuis quelques années, sera au rendez-vous et que la qualité du son ne fera l’objet d’aucune critique.

Pour préparer au mieux votre soirée, Maccaclub vous donne quelques infos pratiques. Pour se rendre à La Défense Arena, vous pouvez prendre le métro ligne 1 et descendre à la station La Défense (Grande Arche). La salle se trouve à environ dix minutes de marche. Vous pouvez également vous rendre à cette gare par le train et le RER A. Si vous empruntez ce dernier, nous vous conseillons de descendre à la station Nanterre Préfecture qui ne se trouve qu’à cinq minutes de marche. Vous pouvez également emprunter le Tramway T2 La Défense Grande Arche.

Si vous venez en voiture, vous pourrez vous garez dans les parkings à proximité. Pour les personnes handicapées, un parking est à disposition sous la salle. Nous vous conseillons de contacter l’Arena pour vous assurer d’avoir un emplacement. Pour vous retrouver avant et après le concert, vous avez quelques brasseries près de la salle. L’équipe de Maccaclub sera sur place pour rencontrer un maximum de personnes et distribuer des flyers.

Voici le plan d’accès pour accéder à la salle :

L’équipe de Maccaclub vous souhaite un excellent concert. Mais nous savons qu’avec notre cher Paul et ses musiciens, cette soirée sera exceptionnelle.

 

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Paul McCartney s’engage pour les réfugiés

Paul McCartney apparaît dans un clip aux côtés d’une pléiade de stars pour venir en aide aux réfugiés dans le cadre de l’action que mène actuellement l’artiste Marc Quinn qui s’intitule Odyssey. Les artistes affirment que nous avons tous le même sang sous notre peau.

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Wild Life et Red Rose Speedway réédités le 7 décembre 2018

 

Les fans de Paul McCartney non rassasiés malgré la publication du nouvel album « Egypt Station », en septembre, attendaient fébrilement les prochaines rééditions du catalogue de leur bassiste préféré. Ce seront donc les deux premiers opus de Wings qui seront disponibles le 7 décembre 2018 : « Wild Life » et « Red Rose Speedway ».

« Wild Life » enregistré en août 1971 avec Linda et les deux Denny (Laine et Seiwell) est commercialisé le 3 décembre 1971. Produit à la hâte, le disque comporte de bons moments que cette réédition va remettre en lumière.

Voici le contenu de l’édition Deluxe :

CD1 – Remastered Album
1. Mumbo (2018 Remaster)
2. Bip Bop (2018 Remaster)
3. Love Is Strange (2018 Remaster)
4. Wild Life (2018 Remaster)
5. Some People Never Know (2018 Remaster)
6. I Am Your Singer (2018 Remaster)
7. Bip Bop Link (2018 Remaster)
8. Tomorrow (2018 Remaster)
9. Dear Friend (2018 Remaster)
10. Mumbo Link (2018 Remaster)

CD2 – Rough Mixes
1. Mumbo [Rough Mix]
2. Bip Bop [Rough Mix]
3. Love Is Strange (Version) [Rough Mix]
4. Wild Life [Rough Mix]
5. Some People Never Know [Rough Mix]
6. I Am Your Singer [Rough Mix]
7. Tomorrow [Rough Mix]
8. Dear Friend [Rough Mix]

CD3 – Bonus Audio
1. Good Rockin’ Tonight [Home Recording]
2. Bip Bop [Home Recording]
3. Hey Diddle [Home Recording]
4. She Got It Good [Home Recording]

5. I Am Your Singer [Home Recording]
6. Outtake I
7. Dear Friend [Home Recording I]
8. Dear Friend [Home Recording II]
9. Outtake II
10. Indeed I Do
11. When The Wind Is Blowing
12. The Great Cock And Seagull Race [Rough Mix]
13. Outtake III
14. Give Ireland Back To The Irish
15. Give Ireland Back To The Irish (Version)
16. Love Is Strange [Single Edit]
17. African Yeah Yeah

DVD – Bonus Video
1. Scotland, 1971
2. The Ball
3. ICA Rehearsals
4. Give Ireland Back To The Irish (Rehearsal)

Pour « Red Rose Speedway », Paul McCartney prend son temps et enregistre de nombreuses chansons avec Wings qui a été rejoint par le guitariste Henry McCullough. Les sessions s’étirent entre mars et octobre 1972 avec plusieurs techniciens dont Glyn Jones, Alan Parsons ou Richard Lush.

Paul a tant de chansons qu’il pense publier un double album. Mais EMI l’en dissuade et de nombreux titres seront rejetés et feront le bonheur des amateurs de bootlegs. Dans cette réédition ce double disque voit enfin le jour dans son tracklisting d’origine avec « Night Out » en ouverture (CD2)

 

En voici le superbe contenu :

CD1 – Remastered Album
1. Big Barn Bed (2018 Remaster)
2. My Love (2018 Remaster)
3. Get On The Right Thing (2018 Remaster)
4. One More Kiss (2018 Remaster)
5. Little Lamb Dragonfly (2018 Remaster)
6. Single Pigeon (2018 Remaster)
7. When The Night (2018 Remaster)
8. Loup (1st Indian On The Moon) (2018 Remaster)
9. Medley (2018 Remaster)
* a) Hold Me Tight
* b) Lazy Dynamite
* c) Hands Of Love
* d) Power Cut

CD2 – “Double Album”
1. Night Out
2. Get On The Right Thing
3. Country Dreamer
4. Big Barn Bed
5. My Love
6. Single Pigeon
7. When The Night
8. Seaside Woman
9. I Lie Around
10. The Mess [Live At The Hague]
11. Best Friend [Live In Antwerp]
12. Loup (1st Indian On The Moon)
13. Medley
* a) Hold Me Tight
* b) Lazy Dynamite
* c) Hands Of Love
* d) Power Cut
14. Mama’s Little Girl
15. I Would Only Smile
16. One More Kiss
17. Tragedy
18. Little Lamb Dragonfly

CD3 – Bonus Audio
1. Mary Had A Little Lamb
2. Little Woman Love
3. Hi, Hi, Hi
4. C Moon
5. Live And Let Die
6. Get On The Right Thing [Early Mix]
7. Little Lamb Dragonfly [Early Mix]
8. Little Woman Love [Early Mix]
9. 1882 [Home Recording]
10. Big Barn Bed [Rough Mix]
11. The Mess
12. Thank You Darling
13. Mary Had A Little Lamb [Rough Mix]
14. 1882 [Live In Berlin]
15. 1882
16. Jazz Street
17. Live And Let Die [Group Only, Take 10]

DVD 1 – Bonus Video
1. Music Videos
2. James Paul McCartney TV Special
3. Live And Let Die [Live in Liverpool]
4. Newcastle Interview

DVD 2 – Bonus Film
1. The Bruce McMouse Show
5.1 Surround Dolby Digital, 16bit 48kHz /PCM Stereo

Blu-Ray – The Bruce McMouse Show
5.1 Surround DTS-HD Master Audio, 24bit 96kHz/PCM Stereo 24bit 96kHz

 

Enfin pour les fans ultimes et fortunés, un coffret regroupant ces deux rééditions et des enregistrements live est disponible pour la somme de 399 $. A priori, réservé uniquement pour le marché américain, dans un premier temps.

De belles pépites qui se retrouveront sans aucun doute au pied du sapin de Noël.

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Concours The Beatles Paroles de Fans

🎲 CONCOURS 🎲
Tentez votre chance pour gagner The Beatles – Paroles de Fans, le livre événement de notre ami Jean-Marc Fouques (plus d’informations sur le site de l’éditeur Camion Blanc www.camionblanc.com

Pour jouer cela se passe cette fois sur la page Facebook de Maccaclub :
1/ Racontez-nous votre meilleur souvenir lié aux Beatles.
2/ Taguez un(e) ami(e).

Nous annoncerons le ou la gagnant(e) en commentaire du post Facebook, le lundi 22 octobre à 19h31. Oui, 31 😉
Bonne chance à tous !

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Hommage à Geoff Emerick


Ce mercredi 3 octobre 2018, nous nous sommes réveillés avec une bien triste nouvelle. Geoff Emerick, le légendaire ingénieur du son des Beatles et de Paul McCartney est décédé brutalement. Son cœur qui avait vécu tant d’émotion depuis 1962 a cessé de battre beaucoup trop tôt.

Geoff Emerick a donc fait son entrée aux studios EMI en 1962, peu de temps avant que les Beatles n’y enregistrent Love Me Do. Il n’avait que 15 ans.

Il a été le témoin privilégié de la fabuleuse aventure des Fab Four et travaillait toujours avec Paul McCartney, ces dernières années.

En mai 2010, Geoff était de passage à Paris pour parler de son livre « En Studio avec les Beatles » publié à la fin de l’année 2009 aux Editions Le Mot Et Le Reste. Maccaclub l’avait retrouvé à son hôtel pour un entretien privilégié d’une heure.

Maccaclub : Pouvez-vous nous expliquer pourquoi vous avez rédigé ce livre de souvenirs ?

Geoff Emerick : Ce qui s’est passé, c’est quand travaillant avec d’autres artistes, ceux-ci me posaient toujours des tas de questions à propos des sessions avec les Beatles. Au fil du temps, on m’a demandé : « Mais pourquoi n’écris tu pas un livre ? » Mais je ne pouvais pas le faire seul.

Il y avait ce type, Howard Massey, qui écrivait des articles pour des revues. J’aime bien son style. Il a publié un livre intitulé « Through The Glass » pour les étudiants.

Par chance, un jour il m’a dit… ou j’ai dit : « Veux-tu écrire un livre ? »

Alors on l’a fait. Il habite à Long Island, à New York. On a écouté toutes les chansons des Beatles chronologiquement dans l’ordre dans lequel elles ont été enregistrées. En travaillant avec ce groupe, on n’oublie vraiment rien. Il a commencé à me poser des questions et je disais : « Oh, je me souviens de ceci et de cela. » Mon assistant pour « Sgt Pepper », Richard Lush est venu d’Australie et John Smith du Canada. On s’est rassemblé et on s’est remémoré tout ça. Et j’adore la façon dont Howard a rédigé le livre.

M. : Et votre mémoire est intacte ?

G.E : Oui, car quand j’écoute les chansons des Beatles, cela me ramène directement à la session. Je me souviens quand j’enregistrais les voix, les overdubs de guitare. Parfois ça m’arrive au supermarché ! (rires)

M. : Preniez-vous des notes pendant les sessions ?

G.E : Non, il n’y avait aucune raison de le faire car on ne savait pas ce qui se passerait après. C’était ajouté dans le dossier qu’EMI a conservé. Mal Evans, un des roadies écrivait un journal. Mais il est décédé et le journal a disparu.

M. : Vous souvenez-vous quand vous êtes devenu ingénieur du son pour l’album « Revolver » ?

G.E : Quand vous débutez aux studios EMI, votre premier job est celui d’assistant et vous vous occupez du magnéto. Norman Smith était l’ingénieur du son et on s’entendait bien. Il faisait beaucoup de séances avec George Martin. Donc, quand Norman a décidé de partir pour devenir producteur, notamment pour Pink Floyd, j’ai été promu ingénieur. Un de mes premiers enregistrements fut pour Manfred Mann, cinq mois avant les sessions pour « Revolver ».

Un jour, le patron m’a convoqué dans son bureau et George Martin était présent. Et George m’a demandé : « Tu veux t’occuper des Beatles ? » Oh mon Dieu ! Ma première réaction a été de refuser. Mais j’ai accepté car je n’avais rien à perdre. Quand ils sont arrivés dans le studio, pour la première séance, George Harrison a demandé à George Martin : « Où est Norman ? ». Je me suis senti mal. Mais je crois que Paul était au courant.

M. : La première séance était pour Tomorrow Never Knows. Avec cette chanson, on peut vraiment dire que la musique a changé. Vous souvenez-vous de cette session ?

G.E : Oh oui. Ils n’étaient pas très contents avec le son de la batterie. Alors j’ai rapproché le micro plus près pour obtenir quelque chose de différent. C’est la seule chose qui me soit venue à l’esprit. Et nous avons obtenu un bon son de batterie. Puis, John a commencé à enregistrer les voix et ça sonnait comme le Dalaï Lama. Il n’y avait pas de logiciel ! Juste une console de mixage, un magnéto et une chambre d’écho.

M. : Vous avez eu des ennuis parce que vous ne respectiez pas la distance réglementaire pour placer les micros ?

G.E : J’ai reçu des réprimandes pour ça. Quelqu’un l’a vu et j’ai reçu une lettre de la direction. Il y a eu une réunion où ils m’ont dit que j’avais la permission de le faire, mais uniquement pour les Beatles. Ce qu’il faut en retenir, c’est qu’on a fait sauter des barrières à cette époque. Notamment entre les musiciens classiques et pop.

M. : Vous aviez des rapports très différents avec chacun des Beatles ?

G.E : Je m’entends très bien avec Paul. Je pense qu’il peut lire dans mes pensées et moi dans les siennes. Et Paul est très impliqué dans la musique et il adore ça. John était plus agressif et moins patient. J’ai toujours trouvé George plus suspicieux. C’était sûrement parce que nous vivions dans le sud de l’Angleterre et qu’ils venaient du nord. En ce temps, les rapports entre les gens du nord et ceux du sud étaient bizarres. Je m’entendais bien avec eux, en fait. Mais nous n’étions pas si proches.

M. : Dans votre livre, on apprend que c’est Paul qui a enregistré le solo de guitare sur Taxman…

G.E : Paul est un perfectionniste. Il a perdu patience avec George et l’a joué lui-même. Et Harrison en a vraiment été très contrarié.

M. : Vous avez quitté les studios EMI pendant les séances de l’album Blanc car l’atmosphère devenait vraiment terrible. Et vous avez été rappelé pour la chanson The Ballad Of John And Yoko.

G.E : Oui, il n’avait que Paul et John. C’était amusant à faire. Paul a joué de la batterie. C’était une session très rapide et beaucoup de fun.

M. : Que pensez-vous des Remasterisations publiées le 09 09 2009 ?

G.E : Je ne m’en suis pas occupé. J’ai écouté les monos et j’ai discuté avec quelqu’un qui m’a affirmé : « Nous n’avons rien fait de spécial là-dessus. » Mais ça sonne trop bien en fait. Il y a une sorte de nettoyage et des trucs qui manquent… des petites crasses sonores qui sont parties. C’est bien propre et bien fort. Les stéréos ne sont pas bonnes à mon goût. Les Beatles sont des icones. N’y touchez pas ! C’est comme si vous prenez le tableau « La Joconde » et que vous dîtes : « Tiens, je vais changer la couleur du fond ! » C’est ce qu’ils ont fait ! Je ne sais pas pourquoi ça leur a pris cinq ans pour remasteriser ça.

M. : Comment avez-vous réagi sur le fait que des gens ont modifié votre travail ?

G.E : Ce n’est pas bien. Je veux dire que c’est un peu insultant. Ce qui est drôle avec Abbey Road, c’est qu’ils disent : « Nous avons enregistré les Beatles ! » Mais c’est faux. Moi, je l’ai fait ! Et ils ont l’air de penser qu’ils avaient à être impliqués là-dedans. D’un point de vue artistique, ils ne savent pas ce que j’avais à l’esprit quand j’ai mixé tout ça. Ils se sont concentrés sur les qualités techniques. Le côté artistique a été laissé à l’abandon. Ce n’est pas le son que j’ai créé. C’est différent maintenant.

M. : Paul a annoncé une nouvelle sortie de « Band On The Run » pour septembre 2010… avec une nouvelle masterisation…

G.E : (visiblement pas au courant du projet- Ndr) Je ne suis pas impliqué dans ce projet. Ca ne va pas apporter grand-chose car quand j’ai travaillé sur la version de 1998, à New York, évidemment ça sonnait beaucoup plus fort. Si je m’en occupais maintenant, je reprendrai le master des bandes originales.

M. : Vous travaillez toujours avec McCartney ?

G.E : Oui. Quand on s’est retrouvés l’an dernier, nous avons travaillé sur la chanson I Want To Come Home pour le film « Everybody’s Fine » avec Robet de Niro. Puis, j’ai mixé les concerts du Citi Fields et je vais travailler sur le show du Radio City Hall qu’il a fait pour David Lynch. (Quelques jours après l’interview, Geoff Emerick sera présent à Washington, pour le show à la Maison Blanche.)

M. : Qu’elle est votre relation avec Paul ?

G.E : Elle dure depuis 1962. Parfois, on ne se voit pas pendant un bon bout de temps. Puis, on reparle du bon vieux temps. En studio, c’est beaucoup de travail et de concentration.

M. : Vous avez travaillé sur pas mal d’albums de Macca…

G.E : « Band On The Run » à Lagos, en Afrique. Les temps étaient durs. Paul s’est fait dévaliser et a failli y passer. Mais en y regardant bien, c’était une aventure et bien amusant.

« London Town », c’était dans les Caraïbes. Nous avions trois bateaux et on avait embarqué le Record Plant à l’arrière de l’un d’eux. On a essayé d’enregistré sur le pont. On avait jeté l’ancre dans une baie. Ca bougeait trop et on eu des ennuis avec les autres plaisanciers qui voulaient un peu de calme. C’était un peu problématique. Nous sommes restés quatre semaines. J’avais installé la console de mixage au fond de la cabine, d’un côté il y avait les synthétiseurs et de l’autre les guitares.

M. : Avez-vous été surpris quand Paul a débuté une vraie carrière solo avec « Tug Of War » ?

G.E : Pour être honnête avec vous, non. C’était toujours Paul, avec les Wings ou pas. Les Wings n’étaient pas les Wings sans les harmonies de Linda. C’est étonnant d’ailleurs car si on retire la voix de Linda sur une chanson des Wings, ce n’est plus du tout pareil.

M. : Quels sont vos nouveaux projets ?

G.E : L’an dernier, nous avons fait le spectacle Sgt Pepper de Cheap Trick à Las Vegas. Nous avons fait 36 représentations au Casino Paris. Je suis impliqué dans un autre projet Beatles. Avec ce type qui a fait ces concerts avec Elvis sur un écran. Nous allons créer une réplique du Studio 2 d’Abbey Road et le public pourra se disperser à l’intérieur. On démarrera avec Love Me Do, jusqu’à The End. Nous sommes allés auditionner au Cavern Club. Nous avons trouvé quatre nouveaux Beatles. Pas forcément ressemblant, mais qui sonnent vraiment bien. Ce n’est pas comme un groupe de covers. Ca commence en octobre et c’est très excitant.

Propos recueillis par Jean-Luc Leray et Dominique Grandfils en mai 2010.

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Quelques Nouvelles de l’Album Blanc.

Selon nos confrères de la page Facebook Beatlefan, il y aurait du nouveau concernant le White Album et ce à quelques semaines seulement des 50 ans du disque…

Voici ce que nous savons et avons compilé pour vous :
Deux sessions d’écoute réservées aux médias pour la réédition du 50ème anniversaire de l’album blanc des Beatles auront lieu le 26 septembre à New York. Et des sources révèlent que les différentes configurations des rééditions de l’album blanc ressemblent à ceci :
• Un set de 4 LP (2 disques du nouveau remix stéréo + 2 disques de démos « Esher »),
• Un jeu de 3 CD (même matériau que ci-dessus). Apparemment, deux des CD sont le nouveau remix et le troisième est celui des démos « Esher ».
• Et un CD Super Deluxe (3 CD comme ci-dessus + 3 CD de bonus et chutes de studio). De plus, la box comprendra un disque blu-ray qui sera uniquement audio. Il n’y aura pas de vidéo.

« Hey Jude », « Revolution », « The Inner Light », « Across the Universe », « Lady Madonna » et des morceaux/improvisations inédites sont au rendez-vous. Il y a aussi du matériel issu des répétitions.

En outre, une version de 12 minutes de « Helter Skelter », précédemment réduite à environ 5 minutes pour les Anthology, sera incluse, mais la version légendaire de 27 minutes de « Helter Skelter » ne sera PAS incluse. Le nouveau remix de l’album par Giles Martin est d’une « clarté incroyable et qu’elle met plus en avant la basse et la batterie ».

Une annonce officielle pour la sortie est attendue prochainement. La date de sortie devrait être le 9 novembre.

Carl KIESER pour Maccaclub.

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Une nouvelle version du film Let It Be dans les cartons ?

Le film, qui a capturé la réalisation du dernier album studio des Beatles, est prévu pour une nouvelle édition spéciale en 2020.

Paul McCartney a déclaré que le film des Beatles, Let It Be, devrait être réédité dans une « nouvelle version » à l’occasion de son cinquantième anniversaire en 2020.

Le film, qui a été initialement publié en 1970, a documenté la création du dernier album studio du groupe légendaire. Réalisé par Michael Lindsay-Hogg, le film comprend également les images emblématiques de janvier 1969 de la dernière représentation publique des Beatles sur le toit du siège d’Apple Corps au centre de Londres.


McCartney a révélé qu’il était prévu de célébrer le cinquantième anniversaire du film en 2020 avec une sortie spéciale DVD/Blu-Ray. Cependant, McCartney a déclaré que la « dernière rumeur » serait que la nouvelle version comportera une nouvelle version de Let It Be basée sur des images inédites : « Je pense qu’il pourrait y avoir une nouvelle version », a-t-il déclaré au DJ Yannick Tremblay lors d’une interview avec Radio X au Canada.

« Nous continuons à parler d’une réédition », a-t-il déclaré. « Nous avons des réunions chez Apple […]. Et c’est une des choses dont vous ne savez jamais vraiment comment ça va se passer. Donc, il n’y a pas d’éléments officiels pour maintenant. Mais je ne cesse de dire « Qu’est-ce qui va se passer ? ».

« Je vous dis ce que je pense, que ça va arriver », a poursuivi McCartney. « Je pense qu’il pourrait y avoir une nouvelle version. C’est un peu les derniers potins. Il y a beaucoup de vidéos, et le film original est sorti, et il s’agissait en quelque sorte de la séparation des Beatles. Et pour moi, c’était un peu triste, le film ».

« Mais je sais que les gens ont regardé les images [inédites]. Il y a environ 56 heures de vidéo. Et quelqu’un me parlait l’autre jour et m’a dit : « Le sentiment général est très joyeux et très encourageant. C’est comme des gars qui font de la musique et aiment ça », vous savez. Je pense donc qu’il est question de faire un nouveau film, de le rééditer à partir de la même période, à partir des mêmes images ».

Let It Be n’est officiellement disponible sur aucun format depuis les années 1980. Les projets de réédition du film sur DVD ont été abandonnés en 2008 à la demande de Paul McCartney et Ringo Starr.

Carl KIESER pour Maccaclub.

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Paul McCartney au sommet des charts

Une semaine après la sortie de son nouvel album « Egypt Station », Paul McCartney vient de décrocher la première place du Billboard, le plus prestigieux classement américain. Il n’avait plus atteint le sommet des charts depuis 1982 et « Tug Of War », soit 36 ans à la recherche du grand succès.

En Grande Bretagne, Macca doit se contenter de la seconde place, derrière Eminem qu’il devance en Amérique. Nul n’est prophète en son pays.

En France, Paul atteint une honorable quatrième place grâce à la mobilisation de ses fans dont beaucoup ont acheté CD et vinyles de cet « Egypt Station ». Il est devancé par Kendji Girac, Zazie et Lenny Kravitz qui viennent également de publier un nouveau disque.

Il faudra surveiller la deuxième semaine des ventes, mais sir Paul ne devrait pas surpasser cette quatrième place.

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Questions-réponses avec Paul McCartney

Paul McCartney s’est livré à une interview particulière pour Google. Il a répondu à quelques questions écrites sur des cartons. Il a évoqué, les Beatles avec Yesterday, Let It Be, Wings, Elvis, sa basse et bien d’autres secrets. Une chose est sûre : Macca est fâché avec les dates et laisse le soin aux fans de se souvenir de sa carrière.

A voir également la vidéo pour GQ où Paul parle de ses chansons.

 

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Concert de Paul McCartney à la gare Grand Central de New York

Ce vendredi 7 septembre 2018, jour de la commercialisation de son album « Egypt Station », Paul McCartney et son groupe se sont installés à Grand Central Station pour un concert surprise. A 20h (2h en France), les fans étaient présents pour vivre ce grand moment.

Voici le lien vers la diffusion sur YouTube :