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Concours The Beatles Paroles de Fans

🎲 CONCOURS 🎲
Tentez votre chance pour gagner The Beatles – Paroles de Fans, le livre événement de notre ami Jean-Marc Fouques (plus d’informations sur le site de l’éditeur Camion Blanc www.camionblanc.com

Pour jouer cela se passe cette fois sur la page Facebook de Maccaclub :
1/ Racontez-nous votre meilleur souvenir lié aux Beatles.
2/ Taguez un(e) ami(e).

Nous annoncerons le ou la gagnant(e) en commentaire du post Facebook, le lundi 22 octobre à 19h31. Oui, 31 😉
Bonne chance à tous !

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Hommage à Geoff Emerick


Ce mercredi 3 octobre 2018, nous nous sommes réveillés avec une bien triste nouvelle. Geoff Emerick, le légendaire ingénieur du son des Beatles et de Paul McCartney est décédé brutalement. Son cœur qui avait vécu tant d’émotion depuis 1962 a cessé de battre beaucoup trop tôt.

Geoff Emerick a donc fait son entrée aux studios EMI en 1962, peu de temps avant que les Beatles n’y enregistrent Love Me Do. Il n’avait que 15 ans.

Il a été le témoin privilégié de la fabuleuse aventure des Fab Four et travaillait toujours avec Paul McCartney, ces dernières années.

En mai 2010, Geoff était de passage à Paris pour parler de son livre « En Studio avec les Beatles » publié à la fin de l’année 2009 aux Editions Le Mot Et Le Reste. Maccaclub l’avait retrouvé à son hôtel pour un entretien privilégié d’une heure.

Maccaclub : Pouvez-vous nous expliquer pourquoi vous avez rédigé ce livre de souvenirs ?

Geoff Emerick : Ce qui s’est passé, c’est quand travaillant avec d’autres artistes, ceux-ci me posaient toujours des tas de questions à propos des sessions avec les Beatles. Au fil du temps, on m’a demandé : « Mais pourquoi n’écris tu pas un livre ? » Mais je ne pouvais pas le faire seul.

Il y avait ce type, Howard Massey, qui écrivait des articles pour des revues. J’aime bien son style. Il a publié un livre intitulé « Through The Glass » pour les étudiants.

Par chance, un jour il m’a dit… ou j’ai dit : « Veux-tu écrire un livre ? »

Alors on l’a fait. Il habite à Long Island, à New York. On a écouté toutes les chansons des Beatles chronologiquement dans l’ordre dans lequel elles ont été enregistrées. En travaillant avec ce groupe, on n’oublie vraiment rien. Il a commencé à me poser des questions et je disais : « Oh, je me souviens de ceci et de cela. » Mon assistant pour « Sgt Pepper », Richard Lush est venu d’Australie et John Smith du Canada. On s’est rassemblé et on s’est remémoré tout ça. Et j’adore la façon dont Howard a rédigé le livre.

M. : Et votre mémoire est intacte ?

G.E : Oui, car quand j’écoute les chansons des Beatles, cela me ramène directement à la session. Je me souviens quand j’enregistrais les voix, les overdubs de guitare. Parfois ça m’arrive au supermarché ! (rires)

M. : Preniez-vous des notes pendant les sessions ?

G.E : Non, il n’y avait aucune raison de le faire car on ne savait pas ce qui se passerait après. C’était ajouté dans le dossier qu’EMI a conservé. Mal Evans, un des roadies écrivait un journal. Mais il est décédé et le journal a disparu.

M. : Vous souvenez-vous quand vous êtes devenu ingénieur du son pour l’album « Revolver » ?

G.E : Quand vous débutez aux studios EMI, votre premier job est celui d’assistant et vous vous occupez du magnéto. Norman Smith était l’ingénieur du son et on s’entendait bien. Il faisait beaucoup de séances avec George Martin. Donc, quand Norman a décidé de partir pour devenir producteur, notamment pour Pink Floyd, j’ai été promu ingénieur. Un de mes premiers enregistrements fut pour Manfred Mann, cinq mois avant les sessions pour « Revolver ».

Un jour, le patron m’a convoqué dans son bureau et George Martin était présent. Et George m’a demandé : « Tu veux t’occuper des Beatles ? » Oh mon Dieu ! Ma première réaction a été de refuser. Mais j’ai accepté car je n’avais rien à perdre. Quand ils sont arrivés dans le studio, pour la première séance, George Harrison a demandé à George Martin : « Où est Norman ? ». Je me suis senti mal. Mais je crois que Paul était au courant.

M. : La première séance était pour Tomorrow Never Knows. Avec cette chanson, on peut vraiment dire que la musique a changé. Vous souvenez-vous de cette session ?

G.E : Oh oui. Ils n’étaient pas très contents avec le son de la batterie. Alors j’ai rapproché le micro plus près pour obtenir quelque chose de différent. C’est la seule chose qui me soit venue à l’esprit. Et nous avons obtenu un bon son de batterie. Puis, John a commencé à enregistrer les voix et ça sonnait comme le Dalaï Lama. Il n’y avait pas de logiciel ! Juste une console de mixage, un magnéto et une chambre d’écho.

M. : Vous avez eu des ennuis parce que vous ne respectiez pas la distance réglementaire pour placer les micros ?

G.E : J’ai reçu des réprimandes pour ça. Quelqu’un l’a vu et j’ai reçu une lettre de la direction. Il y a eu une réunion où ils m’ont dit que j’avais la permission de le faire, mais uniquement pour les Beatles. Ce qu’il faut en retenir, c’est qu’on a fait sauter des barrières à cette époque. Notamment entre les musiciens classiques et pop.

M. : Vous aviez des rapports très différents avec chacun des Beatles ?

G.E : Je m’entends très bien avec Paul. Je pense qu’il peut lire dans mes pensées et moi dans les siennes. Et Paul est très impliqué dans la musique et il adore ça. John était plus agressif et moins patient. J’ai toujours trouvé George plus suspicieux. C’était sûrement parce que nous vivions dans le sud de l’Angleterre et qu’ils venaient du nord. En ce temps, les rapports entre les gens du nord et ceux du sud étaient bizarres. Je m’entendais bien avec eux, en fait. Mais nous n’étions pas si proches.

M. : Dans votre livre, on apprend que c’est Paul qui a enregistré le solo de guitare sur Taxman…

G.E : Paul est un perfectionniste. Il a perdu patience avec George et l’a joué lui-même. Et Harrison en a vraiment été très contrarié.

M. : Vous avez quitté les studios EMI pendant les séances de l’album Blanc car l’atmosphère devenait vraiment terrible. Et vous avez été rappelé pour la chanson The Ballad Of John And Yoko.

G.E : Oui, il n’avait que Paul et John. C’était amusant à faire. Paul a joué de la batterie. C’était une session très rapide et beaucoup de fun.

M. : Que pensez-vous des Remasterisations publiées le 09 09 2009 ?

G.E : Je ne m’en suis pas occupé. J’ai écouté les monos et j’ai discuté avec quelqu’un qui m’a affirmé : « Nous n’avons rien fait de spécial là-dessus. » Mais ça sonne trop bien en fait. Il y a une sorte de nettoyage et des trucs qui manquent… des petites crasses sonores qui sont parties. C’est bien propre et bien fort. Les stéréos ne sont pas bonnes à mon goût. Les Beatles sont des icones. N’y touchez pas ! C’est comme si vous prenez le tableau « La Joconde » et que vous dîtes : « Tiens, je vais changer la couleur du fond ! » C’est ce qu’ils ont fait ! Je ne sais pas pourquoi ça leur a pris cinq ans pour remasteriser ça.

M. : Comment avez-vous réagi sur le fait que des gens ont modifié votre travail ?

G.E : Ce n’est pas bien. Je veux dire que c’est un peu insultant. Ce qui est drôle avec Abbey Road, c’est qu’ils disent : « Nous avons enregistré les Beatles ! » Mais c’est faux. Moi, je l’ai fait ! Et ils ont l’air de penser qu’ils avaient à être impliqués là-dedans. D’un point de vue artistique, ils ne savent pas ce que j’avais à l’esprit quand j’ai mixé tout ça. Ils se sont concentrés sur les qualités techniques. Le côté artistique a été laissé à l’abandon. Ce n’est pas le son que j’ai créé. C’est différent maintenant.

M. : Paul a annoncé une nouvelle sortie de « Band On The Run » pour septembre 2010… avec une nouvelle masterisation…

G.E : (visiblement pas au courant du projet- Ndr) Je ne suis pas impliqué dans ce projet. Ca ne va pas apporter grand-chose car quand j’ai travaillé sur la version de 1998, à New York, évidemment ça sonnait beaucoup plus fort. Si je m’en occupais maintenant, je reprendrai le master des bandes originales.

M. : Vous travaillez toujours avec McCartney ?

G.E : Oui. Quand on s’est retrouvés l’an dernier, nous avons travaillé sur la chanson I Want To Come Home pour le film « Everybody’s Fine » avec Robet de Niro. Puis, j’ai mixé les concerts du Citi Fields et je vais travailler sur le show du Radio City Hall qu’il a fait pour David Lynch. (Quelques jours après l’interview, Geoff Emerick sera présent à Washington, pour le show à la Maison Blanche.)

M. : Qu’elle est votre relation avec Paul ?

G.E : Elle dure depuis 1962. Parfois, on ne se voit pas pendant un bon bout de temps. Puis, on reparle du bon vieux temps. En studio, c’est beaucoup de travail et de concentration.

M. : Vous avez travaillé sur pas mal d’albums de Macca…

G.E : « Band On The Run » à Lagos, en Afrique. Les temps étaient durs. Paul s’est fait dévaliser et a failli y passer. Mais en y regardant bien, c’était une aventure et bien amusant.

« London Town », c’était dans les Caraïbes. Nous avions trois bateaux et on avait embarqué le Record Plant à l’arrière de l’un d’eux. On a essayé d’enregistré sur le pont. On avait jeté l’ancre dans une baie. Ca bougeait trop et on eu des ennuis avec les autres plaisanciers qui voulaient un peu de calme. C’était un peu problématique. Nous sommes restés quatre semaines. J’avais installé la console de mixage au fond de la cabine, d’un côté il y avait les synthétiseurs et de l’autre les guitares.

M. : Avez-vous été surpris quand Paul a débuté une vraie carrière solo avec « Tug Of War » ?

G.E : Pour être honnête avec vous, non. C’était toujours Paul, avec les Wings ou pas. Les Wings n’étaient pas les Wings sans les harmonies de Linda. C’est étonnant d’ailleurs car si on retire la voix de Linda sur une chanson des Wings, ce n’est plus du tout pareil.

M. : Quels sont vos nouveaux projets ?

G.E : L’an dernier, nous avons fait le spectacle Sgt Pepper de Cheap Trick à Las Vegas. Nous avons fait 36 représentations au Casino Paris. Je suis impliqué dans un autre projet Beatles. Avec ce type qui a fait ces concerts avec Elvis sur un écran. Nous allons créer une réplique du Studio 2 d’Abbey Road et le public pourra se disperser à l’intérieur. On démarrera avec Love Me Do, jusqu’à The End. Nous sommes allés auditionner au Cavern Club. Nous avons trouvé quatre nouveaux Beatles. Pas forcément ressemblant, mais qui sonnent vraiment bien. Ce n’est pas comme un groupe de covers. Ca commence en octobre et c’est très excitant.

Propos recueillis par Jean-Luc Leray et Dominique Grandfils en mai 2010.

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Quelques Nouvelles de l’Album Blanc.

Selon nos confrères de la page Facebook Beatlefan, il y aurait du nouveau concernant le White Album et ce à quelques semaines seulement des 50 ans du disque…

Voici ce que nous savons et avons compilé pour vous :
Deux sessions d’écoute réservées aux médias pour la réédition du 50ème anniversaire de l’album blanc des Beatles auront lieu le 26 septembre à New York. Et des sources révèlent que les différentes configurations des rééditions de l’album blanc ressemblent à ceci :
• Un set de 4 LP (2 disques du nouveau remix stéréo + 2 disques de démos « Esher »),
• Un jeu de 3 CD (même matériau que ci-dessus). Apparemment, deux des CD sont le nouveau remix et le troisième est celui des démos « Esher ».
• Et un CD Super Deluxe (3 CD comme ci-dessus + 3 CD de bonus et chutes de studio). De plus, la box comprendra un disque blu-ray qui sera uniquement audio. Il n’y aura pas de vidéo.

« Hey Jude », « Revolution », « The Inner Light », « Across the Universe », « Lady Madonna » et des morceaux/improvisations inédites sont au rendez-vous. Il y a aussi du matériel issu des répétitions.

En outre, une version de 12 minutes de « Helter Skelter », précédemment réduite à environ 5 minutes pour les Anthology, sera incluse, mais la version légendaire de 27 minutes de « Helter Skelter » ne sera PAS incluse. Le nouveau remix de l’album par Giles Martin est d’une « clarté incroyable et qu’elle met plus en avant la basse et la batterie ».

Une annonce officielle pour la sortie est attendue prochainement. La date de sortie devrait être le 9 novembre.

Carl KIESER pour Maccaclub.

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Une nouvelle version du film Let It Be dans les cartons ?

Le film, qui a capturé la réalisation du dernier album studio des Beatles, est prévu pour une nouvelle édition spéciale en 2020.

Paul McCartney a déclaré que le film des Beatles, Let It Be, devrait être réédité dans une « nouvelle version » à l’occasion de son cinquantième anniversaire en 2020.

Le film, qui a été initialement publié en 1970, a documenté la création du dernier album studio du groupe légendaire. Réalisé par Michael Lindsay-Hogg, le film comprend également les images emblématiques de janvier 1969 de la dernière représentation publique des Beatles sur le toit du siège d’Apple Corps au centre de Londres.


McCartney a révélé qu’il était prévu de célébrer le cinquantième anniversaire du film en 2020 avec une sortie spéciale DVD/Blu-Ray. Cependant, McCartney a déclaré que la « dernière rumeur » serait que la nouvelle version comportera une nouvelle version de Let It Be basée sur des images inédites : « Je pense qu’il pourrait y avoir une nouvelle version », a-t-il déclaré au DJ Yannick Tremblay lors d’une interview avec Radio X au Canada.

« Nous continuons à parler d’une réédition », a-t-il déclaré. « Nous avons des réunions chez Apple […]. Et c’est une des choses dont vous ne savez jamais vraiment comment ça va se passer. Donc, il n’y a pas d’éléments officiels pour maintenant. Mais je ne cesse de dire « Qu’est-ce qui va se passer ? ».

« Je vous dis ce que je pense, que ça va arriver », a poursuivi McCartney. « Je pense qu’il pourrait y avoir une nouvelle version. C’est un peu les derniers potins. Il y a beaucoup de vidéos, et le film original est sorti, et il s’agissait en quelque sorte de la séparation des Beatles. Et pour moi, c’était un peu triste, le film ».

« Mais je sais que les gens ont regardé les images [inédites]. Il y a environ 56 heures de vidéo. Et quelqu’un me parlait l’autre jour et m’a dit : « Le sentiment général est très joyeux et très encourageant. C’est comme des gars qui font de la musique et aiment ça », vous savez. Je pense donc qu’il est question de faire un nouveau film, de le rééditer à partir de la même période, à partir des mêmes images ».

Let It Be n’est officiellement disponible sur aucun format depuis les années 1980. Les projets de réédition du film sur DVD ont été abandonnés en 2008 à la demande de Paul McCartney et Ringo Starr.

Carl KIESER pour Maccaclub.

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Paul McCartney au sommet des charts

Une semaine après la sortie de son nouvel album « Egypt Station », Paul McCartney vient de décrocher la première place du Billboard, le plus prestigieux classement américain. Il n’avait plus atteint le sommet des charts depuis 1982 et « Tug Of War », soit 36 ans à la recherche du grand succès.

En Grande Bretagne, Macca doit se contenter de la seconde place, derrière Eminem qu’il devance en Amérique. Nul n’est prophète en son pays.

En France, Paul atteint une honorable quatrième place grâce à la mobilisation de ses fans dont beaucoup ont acheté CD et vinyles de cet « Egypt Station ». Il est devancé par Kendji Girac, Zazie et Lenny Kravitz qui viennent également de publier un nouveau disque.

Il faudra surveiller la deuxième semaine des ventes, mais sir Paul ne devrait pas surpasser cette quatrième place.

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Questions-réponses avec Paul McCartney

Paul McCartney s’est livré à une interview particulière pour Google. Il a répondu à quelques questions écrites sur des cartons. Il a évoqué, les Beatles avec Yesterday, Let It Be, Wings, Elvis, sa basse et bien d’autres secrets. Une chose est sûre : Macca est fâché avec les dates et laisse le soin aux fans de se souvenir de sa carrière.

A voir également la vidéo pour GQ où Paul parle de ses chansons.

 

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Concert de Paul McCartney à la gare Grand Central de New York

Ce vendredi 7 septembre 2018, jour de la commercialisation de son album « Egypt Station », Paul McCartney et son groupe se sont installés à Grand Central Station pour un concert surprise. A 20h (2h en France), les fans étaient présents pour vivre ce grand moment.

Voici le lien vers la diffusion sur YouTube :

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Paul McCartney fait le show chez Jimmy Fallon

Quelques heures avant la commercialisation de son nouvel album « Egypt Station », Paul McCartney était l’invité du Tonight Show de Jimmy Fallon.

Une belle occasion pour Macca de s’amuser et de chanter avec l’animateur. Avec en prime, une danse avec Kendall Jenner.

 

https://www.youtube.com/watch?v=DyOUFDRY82s&feature=youtu.be

 

https://www.youtube.com/watch?v=Z9q3e5wIrDw&feature=youtu.be

https://www.youtube.com/watch?v=OBc7FwDrM_g

https://www.youtube.com/watch?v=wOJ5elXrm4k&feature=youtu.be

 

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Paul McCartney à Paris La Défense Arena le 28 novembre

Depuis l’annonce des premières dates du Freshen Up Tour, les fans français attendaient fébrilement l’officialisation d’un concert parisien ou ailleurs dans l’Hexagone. Dès la fin mai, Maccaclub avait annoncé que ce show devrait avoir lieu à La Défense Arena.

Après plusieurs mois, d’attente et d’angoisse, nous avons le plaisir de vous donner rendez-vous le  mercredi 28 novembre 2018 pour un formidable concert de Paul McCartney à La Défense Arena. Les places seront mises en vente le jeudi 13 septembre à 10 h.

Cette salle inaugurée en octobre 2017 (ex-U Arena) a une capacité de 40 000 places, soit plus de deux fois plus que celle de l’AccorHotels Arena (18 800) où Paul a donné son dernier concert parisien le 30 mai 2016, lors de sa précédente tournée « One on One » . Cela n’empêchera pas quelques frayeurs au moment de la vente des billets, si l’on se réfère à celle des concerts britanniques qui n’a duré que quelques minutes.

Maccaclub vous communiquera toutes les informations pour obtenir vos sésames dans les meilleures conditions et vivre au mieux ce nouveau rendez-vous avec notre cher Paul.

(photo : © Dominique Grandfils)

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Maccaclub a écouté quelques extraits d’Egypt Station

Une partie de l’équipe de Maccaclub a eu la chance de pouvoir écouter quelques extraits de l’album de Paul McCartney « Egypt Station ». Un lien vers un fichier ouvrable sur un seul ordinateur ou smartphone a été adressé à certains médias.

Parmi les huit titres, nous connaissons déjà « I Don’t Know », « Come On To Me » et le déjà controversé « Fuh You ».

« Opening » est une courte intro instrumentale qui ouvre l’album avant « I Don’t Know ».

« Happy With You », quatrième titre du disque, est une ballade classique construite autour de l’accord de ré. On note également la présence d’une flûte. Paul raconte ses excès passés (alcool, fumette…) qu’il ne regrette pas car il est heureux d’être avec son épouse. Une chanson qui va ravir les fans de la première heure échaudés par « Fuh You ».

« Hand In Hand », neuvième titre, est une autre ballade au piano. La voix de Paul s’y révèle fragile et émouvante. Ici encore, on retrouve de la flûte.

« Back In Brazil », onzième morceau de l’œuvre, a été enregistré à Sao Paulo pour retrouver une couleur locale. Et cela commence effectivement comme une bossa moderne,  qui devient d’avantage expérimentale et riche en sonorités. Une autre audace de McCartney qui risque de diviser le public, mais qui va ravir les fans brésiliens.

« Despite Repeated Warnings » est le quatorzième titre et certainement l’un des plus surprenants. Cela commence comme une ballade au piano classique avec une descente en la majeur. Les chœurs (enregistrés par Macca) sont filtrés, mais cela ne choque pas. Puis le morceau change de rythme et d’atmosphère avec une transition qui rappelle « A Day In The Life ». Le tempo se fait plus rapide pour une ambiance totalement différente avec la présence appuyée de guitares. Puis Paul revient au thème du début avec plus d’orchestration. Sans aucun doute, le titre le plus surprenant et audacieux, même si nous n’avons pas encore tout entendu.

En résumé, un disque qui va se révéler varié et riche en sonorités. Paul  McCartney flirte avec les influences du passé tout en gardant les oreilles ouvertes vers le monde et les nouveaux talents. Vivement le 7 septembre pour découvrir « Egypt Station » dans son ensemble.