A l’occasion de la publication de Hope for the Future, Paul McCartney a donné une série d’entretiens à la télévision et à la radio française RTL.
Voici une synthèse de ses déclarations :
L’histoire du jeu Destiny consiste à préserver la planète et sauver l’espèce humaine. Il fallait donc parler d’espoir pour le futur. Je voulais que ce soit une chanson à part entière. Ce qui est intéressant, c’est que toute une génération qui n’écoutait pas ma musique peut l’entendre maintenant. C’est une chanson très épique. La seule expérience du même type que j’avais eu avant, c’était pour Live and let die. C’était gros, pour James Bond et ça m’a rappelé tout cela.
Je pense que j’ai décidé de le faire parce qu’on m’a demandé de faire quelque chose de différent. Et j’aime garder tout cela frais et intéressant.
Le processus d’écriture n’a pas vraiment changé, parce vous devez toujours avoir une idée, vous devez avoir une musique, des paroles. Donc c’est assez similaire.
Ce qui est différent, c’est que vous devez imaginer où ça va vous mener. Et dans ce cas, c’est un jeu vidéo à grand succès. Alors ça ajoute un peu d’excitation parce qu’alors tu sais que ça va être épique.
Je n’ai pas vraiment le temps de jouer aux jeux vidéo et quand je le fait, je ne suis pas très bon. J’y ai joué, j’ai aimé, mais je me suis fait tuer très vite. Mes petits-enfants ont trouvé extrêmement cool le fait que je travaille sur ce jeu. C’est la première fois qu’ils faisaient attention à moi depuis des années.
Il n’y a pas de nouvel album prévu. Pour l’instant, c’est juste une chanson.
Jouer en France ? Ce serait chouette ! Il se pourrait que je vienne l’année prochaine. On remplit l’agenda en ce moment. Nous n’avons rien de concret pour le moment, sauf pour avril, car je pense que nous allons retourner au Japon. Je dois aussi travailler sur quelques projets. Je vais devoir composer.
Pour les fêtes de fin d’année, je serai un peu à New York, puis en Angleterre pour un repas de famille. Donc cela sera un peu comme tout le monde : trop manger et se reposer.