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Les Beatles affolent les services de streaming

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Ils ont finalement cédé et décidé de diffuser leurs chansons sur les sites de streaming. Paul McCartney, Ringo Starr et les ayant droits de John Lennon et George Harrison ont donc permis que le catalogue Beatles soit disponible sur tous les principaux sites de streaming (Spotify, Apple Music, Deezer, Google Play Music, Rhapsody et Tidal), à partir du 24 décembre 2015.

Le résultat est assez spectaculaire, puisqu’en moins d’une semaine, ce sont 70 millions de titres qui ont été écoutés par les internautes de la planète sur Spotify. Ainsi, Come Together comptabilisait 2,3 millions d’écoutes au compteur, ce 28 décembre au matin. Quelque 65% des auditeurs avaient moins de 34 ans, ce qui veut dire qu’ils sont nés bien après la séparation des Beatles en 1970.

The Beatles On Plymouth Hoe

Les Beatles refusaient jusqu’alors de céder au streaming, car la diffusion gratuite d’une chanson ne rapporte qu’un centime d’euro à l’artiste. Cependant, avec 70 millions d’écoutes, c’est tout de même 700 000 euros récoltés pour l’entreprise des Fab Four. Un chiffre qui fera rêver bon nombre d’artistes débutants.

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Paul McCartney chante avec Bruce Springsteen au SNL.

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Paul McCartney a rejoint Bruce Springsteen et le E Street Band sur la scène de l’émission Saturnay Night Live pour la chanson finale « Santa Clauss is coming to town ».

Macca s’est rapproché du micro du guitariste Steve Van Zandt pour assurer les chœurs de ce titre de Noël du Boss. Il était entouré des autres invités du show.

Malheureusement, la prestation a été sauvagement interrompue par la chaîne qui a lancé une page de publicité…

Vous pouvez voir la vidéo via ce lien :

http://www.gossipcop.com/bruce-springsteen-snl-santa-claus-is-coming-to-town-saturday-night-live-cast-paul-mccartney-video-tina-fey-amy-poehler-watch-performance/

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Liverpool honore à nouveau les Beatles

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La ville de Liverpool compte une nouvelle attraction qui honore les Beatles. Les statues de plus de deux mètres de haut , montrent Paul McCartney, George Harrison, Ringo Starr et John Lennon, en costume cravate et caban, en train de marcher et de discuter.

C’est Julia Baird, demi-soeur de Lennon, qui a inauguré ces œuvres qui seront visitées par les nombreux fans qui se rendent sur les bords de la Mersey chaque année.

L’œuvre du sculpteur Andy Edwards a été offerte par le Cavern Club, la salle de concert où les Beatles ont fait leurs premiers pas, pour fêter le 50e anniversaire de leur dernier concert dans leur ville d’origine, le 5 décembre 1965.

 

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Le message de Paul McCartney avant la COP21

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Paul McCartney a tenu à délivrer un message avant la conférence pour le climat (COP21).

Il réitère l’idée de ne pas manger de viande le lundi, voire tous les jours de la semaine, afin de préserver la planète.

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Interview de Paul Du Noyer, auteur de « Conversations avec Paul McCartney

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La veille de la publication de son livre « Des mots qui vont très bien ensemble Conversations avec Paul McCartney » et d’une séance de dédicaces à Paris, Maccaclub a retrouvé Paul Du Noyer pour un entretien chez son éditeur.

 

Le livre a été publié en Grande Bretagne, quelques semaines avant l’édition française. Comment a-t-il été accueilli ?

Nous avons eu de bons retours et notamment un grand article dans Mojo, le magazine que j’avais créé en 1993. Ils me devaient bien un bon papier !

Le lancement du livre a été fait à Liverpool, votre ville natale.

Oui, il y a eu un bel évènement avec une grande fête. J’ai été également très satisfait d’avoir l’avis de Geoff Baker qui fut l’attaché de presse de McCartney. Il a écrit dans un journal londonien que ce livre était celui qui en disait le plus sur Paul. J’ai trouvé cela très flatteur car il le connait bien. Nous avions travaillé ensemble, donc je l’ai vraiment pris pour un compliment.

Quand avez-vous eu l’idée de compiler vos entretiens ?

J’y pensais depuis pas mal d’années parce que je me suis rendu compte que j’avais interviewé Paul McCartney plus souvent que n’importe quel autre musicien. Je dois être un de ceux qui l’a le plus interrogé après Marc Lewishon et Barry Miles qui ont dû passer plus de temps avec lui. Je ne sais pas vraiment.

Vous savez combien d’heures cela représente ?

Environ 35 heures d’entretiens. Je ne vous raconte pas le travail de retranscription.

Quand vous réalisiez une interview pour Mojo ou Q, vous ne publiez qu’une partie de ces entretiens. Vous aviez donc des passages inédits ?

C’est vrai que pas mal de parties n’avaient jamais été publiées auparavant. Et j’ai écrit beaucoup pour cet ouvrage, également. Même si certains ont lu tout ce qui est paru dans la presse, il y a beaucoup de choses nouvelles dans le livre.

Etait-ce facile de trouver le bon plan du livre avec une partie chronologique et ensuite quelques thèmes ?

Non, cela a pris pas mal de temps. J’ai repris toutes les interviews que j’avais réalisées sur cassettes ou sur l’Ipod, pour les plus récentes. J’ai retranscris tous ce qu’il m’avait dit. Vraiment tout. Cela m’a pris plusieurs semaines de travail. Ensuite, j’ai pensé aux thèmes ou sujets que je pourrais évoquer. Mais d’un autre côté, la plupart des lecteurs veulent être guidés alors j’ai pensé qu’il fallait que la première partie soit chronologique : sa jeunesse, les Beatles, Wings etc… Dans la deuxième partie, je traite des thèmes : les tournées, la composition ou le rôle de Linda.

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Votre première rencontre avec Paul s’est déroulé à Liverpool après un concert des Wings, le 23 novembre 1979. Vous écrivez que c’est après cette expérience que vous avez su que vous étiez fait pour le métier de journaliste musical. C’est vrai ?

Oui, je le pense. A cette époque, j’étais au New Musical Express, depuis un an et j’espérais faire carrière, mais ça ne rapportait pas grand-chose. J’étais très jeune et j’avais démarré au bas de l’échelle. Au bureau, ils m’ont dit : « Tu es de Liverpool. Paul McCartney va jouer là-bas et donner une petite conférence de presse. Pourquoi n’irais tu pas ? ». J’étais heureux et très étonné. J’ai pensé alors que c’était vraiment un travail fait pour moi. Ça a été très court, mais j’ai été si heureux  de le faire.

Quand l’avez-vous revu ensuite ?

La seconde fois, c’était dix ans plus tard, pour l’album « Flowers in the Dirt ». J’avais rejoint le magazine Q. Ils m’ont demandé d’aller chez Paul, dans son studio, dans le Sussex. Ça s’est très bien passé et je suis resté toute une journée avec lui. J’ai réalisé une très longue interview et nous nous sommes très bien entendus. Il avait l’air très détendu et heureux. Et moi aussi. Je suis allé ensuite voir les répétitions pour le tour qui allait suivre. Deux semaines plus tard, MPL m’a téléphoné pour me demander d’écrire les textes du magazine qui serait offert à chaque spectateur pendant la tournée mondiale. J’étais heureux car j’allais passer une semaine entière avec l’ex-Beatle. Je dormais dans un motel à proximité et je me rendais au Mill chaque matin. Pendant deux heures environ, il me racontait toute sa vie, en fait. Son enfance, les Beatles, sa carrière solo. Surtout la musique et peu finalement sur sa vie privée. La moitié de ces entretiens se sont retrouvés dans le magazine. L’autre moitié inédite est dans le livre. C’était une énorme quantité de matériel pour moi.

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Une expérience incroyable à vivre…

Oui, c’était un honneur d’avoir autant de temps à passer avec lui. J’ai travaillé sur un autre programme, puis sur des présentations d’albums pour la presse. J’ai participé aux éditions de luxe des rééditions de ses disques. Paul m’a demandé de travailler sur le livre qui accompagnait « Band On The Run ». Je l’ai interviewé à nouveau et imaginé le format du coffret. C’est celui qui est toujours utilisé pour les nouveaux disques. L’année suivante, nous avons produit « McCartney » et « McCartney II ». L’idée ensuite était de faire appel à d’autres personnes pour les suivants, mais je travaillerai, sans doute, sur une autre réédition.

Pensez-vous que Paul donne sa confiance facilement ?

Je ne sais pas. Il a ses propres secrets. Mais il parle librement et fait en sorte que les gens se sentent à l’aise avec lui. Ce qui est formidable car tout le monde est nerveux quand on doit le rencontrer. La première fois, en 1979, j’étais terrifié. Un peu comme quand on doit se retrouver sur une table d’opération. Après, on s’habitue quand on le voit plusieurs fois. Mais on garde à l’esprit le fait que c’est tout de même quelqu’un qu’on a toujours admiré.

Dans l’introduction, vous écrivez que c’est un type formidable, mais également un génie…

Oui, je le pense. Un homme ordinaire et gentil avec qui on aimerait aller boire un verre au bar du coin. Mais c’est aussi un génie avec un talent exceptionnel. Je pense que s’il arrêtait de penser qu’il est une personne normale, il deviendrait probablement fou.

Lui avez-vous vraiment dit que la chanson « From a lover to a friend » aurait nécessité un peu plus de travail ?

Non ! C’était trop tard, la chanson était publiée. Mais je me suis fait cette réflexion. Je pense que c’est une très belle mélodie, mais les paroles semblent inabouties, pour moi.

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Vous êtes fan des Beatles et de Paul ?

Oui, définitivement. J’étais fan des Beatles et de Wings, au début. A la fin des seventies, j’ai changé de style avec l’avènement du punk. J’étais à Londres et j’allais dans les clubs pour voir les Sex Pistols et les Clash. J’ai tourné le dos à Wings, en quelque sorte. Dans les années 80, j’étais journaliste et j’écoutais tous un tas de disques. J’entendais ce que faisait McCartney, mais pas assez attentivement. Dans les années 90, avec les rééditions en CD, j’ai vraiment redécouvert certains morceaux. Ces dix dernières années, j’ai vraiment beaucoup écouté sa musique sur mon ordinateur et j’ai vraiment réalisé combien j’aimais ça. Quand j’ai décidé d’écrire le livre, je n’ai plus écouté que cela.  Même les œuvres classiques et les disques de Fireman que je n’avais jamais vraiment écouté attentivement. Je me suis dit que je devrais écrire ce livre et encourager les gens à explorer plus que les aspects les plus évidents de sa musique. Personne ne peut aimer tout ce qu’il a écrit et je n’apprécie pas toute son œuvre, mais je pense que les auditeurs vont trouver des surprises dans certains morceaux. Et maintenant c’est facile, on peut tout écouter sur internet.

A la fin du livre, vous livrez vos 50 chansons favorites de McCartney. Etait-ce un exercice facile ?

Non, parce que ces 50 changeaient toutes les semaines. Si je le faisais à nouveau maintenant, ce serait encore une autre sélection.

Il y a quelques pièces classiques comme « Celebration » ou « Spiral »…

Oui, j’ai tenté de mettre des titres connus et des choses plus obscures. La semaine dernière, j’écoutais « Ocean Kingdom ». Je n’ai jamais vu le ballet et je ne suis pas certain de vouloir le voir car je n’y comprends pas grand-chose, mais j’aime beaucoup cette musique maintenant.

Quelle est votre période musicale préférée ?

J’ai horreur de dire que c’est celle des Beatles. Mais tout ce qu’il a écrit avec eux est époustouflant. Ce serait un miracle de pouvoir recommencer cela. La même chose est arrivée à John Lennon. Quand on prend toutes les chansons de « Revolver », c’est vraiment ce qui s’est fait de mieux en manière de composition. J’aime vraiment aussi les deux premiers albums solos de Paul et de plus en plus les disques de Wings.

Les critiques n’ont pas été tendres avec « Ram » qui est aujourd’hui considéré comme un chef d’œuvre.

Ils s’attendaient sans doute à un nouveau « Abbey Road ». Mais il n’a pas fait ça et s’est amusé en studio. Mais c’est un disque brillant car dans chaque chanson, il y a différentes atmosphères à l’intérieur. C’est certainement mon disque préféré.

Avez-vous envoyé votre livre au principal intéressé ?

Je lui ai envoyé un exemplaire. J’espère qu’il l’a bien réceptionné. Il y a un an, je lui ai adressé un mail pour lui annoncer que j’allais écrire ce livre. Je lui ai précisé qu’il n’aurait rien de spécial à faire car j’avais déjà toutes les interviews. Dans les deux heures qui ont suivi, il m’a répondu : « Cette idée de livre me semble bonne, mais j’aime l’idée que je n’aurai rien à faire ! ». Quand le livre a été publié, j’ai contacté son bureau pour savoir s’il voulait aider pour la promotion, mais ils m’ont rappelé que j’avais précisé que Paul n’aurait rien à faire pour ce projet. Et il a suffisamment de travail avec ses disques et ses tournées.

Merci beaucoup Paul Du Noyer pour cet entretien.

Merci à vous. A bientôt.

Propos recueillis par Dominique Grandfils

 

 

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« Des mots qui vont très bien ensemble Conversations avec Paul McCartney » de Paul Du Noyer

Editions Baker Street. 21 €

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Gagnez le livre Des Mots qui vont très bien ensemble Conversations avec Paul McCartney

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Les Editions Baker Street et Maccaclub vous offrent la possibilité de remporter un exemplaire du nouveau livre de Paul Du Noyer : Paul McCartney Des Mots qui vont très bien ensemble qui sera disponible en librairie dès le 13 octobre 2015.

Paul Du Noyer,  qui fut le fondateur et rédacteur en chef du magazine Mojo, a rencontré l’ex-Beatle à plusieurs reprises depuis la fin des années 70. Il a eu l’occasion de l’interroger sur de nombreuses périodes de sa carrière et de sa vie personnelle. Le journaliste a eu la bonne idée de regrouper les déclarations du musicien en apportant quelques précisions utiles et son ressenti. Un ouvrage indispensable pour découvrir cette légende de la musique.

Pour recevoir votre exemplaire du livre, vous devez être inscrit sur le forum et répondre à cette question :

Quel est le nom du dernier album studio de Paul McCartney ?

Envoyer un mail avec votre réponse, votre pseudo sur le forum et votre adresse à :

contact@maccaclub.com

Trois gagnants seront tirés au sort parmi les bonnes réponses.

Date de clôture du jeu : 20 octobre 2015 à 23h59.

Bonne chance à tous !

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Tug of War : un album contemporain

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L’album de Paul McCartney « Tug of War » est réédité dans sa collection « Paul McCartney Archive Collection ».

Ce disque ressort non seulement remasterisé comme toutes les précédentes rééditions mais également remixé.

C’est la première fois que McCartney retouche l’un de ses albums à partir des pistes originales. Le résultat est exceptionnel. Sans métamorphoser le contenu de cette œuvre, ce nouveau mixage a dynamisé toute la tracklist, donné plus de rondeur et chaleur à la basse (celle de Stanley Clarke en autre), renforcé le son des peaux de batterie (Steve Gadd, Ringo Starr), rehaussé la richesse des chœurs stupéfiants (P & L McCartney et Eric Stewart) et peaufiné la sonorité de tous ces instruments qui font l’originalité du compositeur (guitares acoustiques, percussions insolites, flûte des Andes, claviers torturés, vocoder etc). Les ambiances (Cris, narration, rires (Carl Perkins) et pièces de monnaie) trouvent également un équilibre dans cette nouvelle version. Le clou de cette réédition est, naturellement, le traitement de la voix lead, le chant de Paul McCartney devient plus timbré, plus proche.

Ce travail ne remet, en aucun moment, en cause le mixage original de Geoff Emerick, George Martin  et l’auteur lui-même, simplement, aujourd’hui l’évolution des technologies permet d’harmoniser, d’équilibrer des enregistrements qui ont maintenant, plus de 30 ans.

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La photo située à l’intérieur du livret (Paul en Jamaïque) reflète bien ce travail essentiellement axé sur le détail, au début des années 80, son tirage manque d’équilibre alors que celui de 2015 (retouché certes) retranscrit toute la lumière et l’ambiance de la prise de vue.

Par ses thèmes abordés et sa sonorité éclairée « Tug of War » est un album contemporain et 33 ans après sa sortie, on peut écouter ce disque comme le nouvel opus de … Paul McCartney.

Jean-Luc Leray

 

Voici le contenu de Tug of War :

Disque 1
1-Tug Of War (Remixed 2015)
2-Take It Away (Remixed 2015)
3-Somebody Who Cares (Remixed 2015)
4-What’s That You’re Doing? (Remixed 2015)
5-Here Today (Remixed 2015)
6-Ballroom Dancing (Remixed 2015)
7-The Pound Is Sinking (Remixed 2015)
8-Wanderlust (Remixed 2015)
9-Get It (Remixed 2015)
10-Be What You See (Link) (Remixed 2015)
11-Dress Me Up As A Robber (Remixed 2015)
12-Ebony And Ivory (Remixed 2015)

Disque 2
1-Stop, You Don’t Know Where She Came From (Demo / Remastered 2015)
2-Wanderlust (Demo / Remastered 2015)
3-Ballroom Dancing (Demo / Remastered 2015)
4-Take It Away (Demo / Remastered 2015)
5-The Pound Is Sinking (Demo / Remastered 2015)
6-Something That Didn’t Happen (Demo / Remastered 2015)
7-Ebony And Ivory (Demo / Remastered 2015)
8-Dress Me Up As a Robber / Robber Riff (Demo / Remastered 2015)
9-Ebony And Ivory (Solo Version / Remastered 2015)
10-Rainclouds (Remastered 2015)
11-I’ll Give You A Ring (Remastered 2015)

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Maccaclub présente l’édition remasterisée de Pipes of Peace

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Après Venus and Mars et At the Speed of Sound, Paul McCartney a donc choisi de remettre en lumière les deux albums qui ont suivi la fin de l’aventure Wings : Tug of War et Pipes of Peace.

Composé en partie de chansons enregistrées à Montserrat, pendant le mois de février 1981, Pipes of Peace aurait bien pu s’intituler Tug of War II. L’ex-Beatle y a songé avant de se raviser en pensant à la saga des Rocky dont il trouvait les titres ennuyeux. D’autres sessions eurent lieu à Londres, en septembre et octobre 1982, ainsi que février à octobre 1983.

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Cette nouvelle édition des calumets de la Paix remet en valeur quelques titres oubliés après 32 ans. Le morceau titre, créé en opposition à son prédécesseur et qui fut numéro un en Grande Bretagne pour noël 1983. Son complément Tug of Peace dont le son de basse et les expérimentations sonores sont mises en valeur ici.

N’oublions pas les deux titres avec Michael Jackson, véritables locomotives pour les ventes alors que le (futur) Roi de la Pop autoproclamé commençait à toucher le Graal avec son Thriller. Mention spéciale à The Man, dont on relève toutes les subtilités. Les nostalgiques et les curieux apprécieront la version de Say Say Say de 6 minutes 59 avec les débuts de couplets chantés par Michael et non par Paul. Une vraie découverte.

Le charme du disque provient de ces pépites que certains considèrent pourtant comme mineures : Sweet Little Show, Average Person, The Other Me et Keep Under Cover. Elles sont sublimées en 2015.  Et que dire des versions démo touchantes de pureté. La plupart d’entre elles avait été répétées par le groupe Wings, en 1980.

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La curiosité de cette édition s’intitule It’ not on. Expérimentation qui fait penser à Talk More Talk qui arrivera quelques années plus tard sur Press to Play. La partie chantée par Paul est doublée par des voix féminine (sa fille Heather ?) et masculine (Paul lui-même). On comprend aisément qu’elle ne pouvait trouver sa  place sur l’album.

Autre inédit, Christian Bop est un instrumental bien travaillé avec des cordes. On devine déjà l’envie du musicien de se lancer dans des pièces classiques.

La version démo de Simple as That est totalement différente de la version finale qui figurait en bonus sur la version de 1993. Beaucoup plus épuré avec cette guitare entêtante. En fait, une tout autre chanson avec d’autres paroles.

Un mot sur le DVD qui va décevoir à nouveau les amateurs d’archives. Neuf minutes d’images en studio et les clips officiels. On pouvait sans doute faire mieux. Mais on ne va pas déterrer la hache de guerre pour cela.

Dominique Grandfils

Voici le contenu de cette édition :

 

Disque 1

Pipes of peace
Say say say
The other me
Keep under cover
So bad
The man
Sweetest little show
Average person
Hey hey
Tug of peace
Through our love
Durée : 38.58

 

Disque 2 (Bonus CD)

Say say say (2015 remix)
Average person (Demo)
Keep under cover (Demo)
Sweetest little show (Demo)
It’s not on (Demo)
Simple as that (Demo)
Ode to a kola bear

(Twice in a lifetime (Bonus du CD 1993)
Christian bop
Durée : 32:00

 

DVD:
Bonus film (26 minutes)
Pipes of peace (Music video)
So bad (Music video)
Say say say (Music video)
Hey hey in Montserrat (Home video 3 minutes)
Behind the scenes at AIR (6 minutes)
The man (Home video 4 minutes)

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Tous les tubes et les vidéos des Beatles réunis sur 1.

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Le 6 novembre 2015, les fans des Beatles pourront se procurer le magnifique coffret 1 qui regroupera les meilleurs titres du groupe et, pour la première fois, les vidéos de quelques chansons avec quelques extraits assez rares et des documents restaurés avec un très grand soin.

Paul McCartney a confié au magazine Uncut que le résultat était époustouflant. Avec une mention spéciale pour les images de Hey Bulldog captées pendant une des prises en studio. Et quand il n’existait pas de film pour une chanson, les équipes en ont créé un avec des images inédites.

Voici le contenu de ce coffret :

The Beatles 1

[CD: DVD: CD+DVD: Blu-Ray: CD+Blu-Ray]

DISC 1 AUDIO (CD) + DISC 1 VIDEO
(DVD or Blu-ray)

  • Love Me Do
  • From Me To You
  • She Loves You
  • I Want To Hold Your Hand
  • Can’t Buy Me Love
  • A Hard Day’s Night
  • I Feel Fine
  • Eight Days a Week
  • Ticket To Ride
  • Help!
  • Yesterday
  • Day Tripper
  • We Can Work It Out
  • Paperback Writer
  • Yellow Submarine
  • Eleanor Rigby
  • Penny Lane
  • All You Need Is Love
  • Hello, Goodbye
  • Lady Madonna
  • Hey Jude
  • Get Back
  • The Ballad of John and Yoko
  • Something
  • Come Together
  • Let It Be
  • The Long and Winding Road

DISC 1 VIDEO EXTRAS

  • Paul McCartney commentaires audio
  • Penny Lane
  • Hello, Goodbye
  • Hey Jude
  • Ringo Starr filmed introductions
  • Penny Lane
  • Hello, Goodbye
  • Hey Jude
  • Get Back

The Beatles 1+

CD/2-DVD: CD/2-Blu-ray]

DISC 1 AUDIO (CD) + DISC 2 VIDEO (DVD or Blu-Ray)

 

Print

DISC 2 VIDEO (DVD ou Blu-Ray)

  • Twist & Shout
  • Baby It’s You
  • Words Of Love
  • Please Please Me
  • I Feel Fine
  • Day Tripper *
  • Day Tripper *
  • We Can Work It Out *
  • Paperback Writer *
  • Rain *
  • Rain *
  • Strawberry Fields Forever
  • Within You Without You/Tomorrow Never Knows
  • A Day In The Life
  • Hello, Goodbye *
  • Hello, Goodbye *
  • Hey Bulldog
  • Hey Jude *
  • Revolution
  • Get Back *
  • Don’t Let Me Down
  • Free As A Bird
  • Real Love

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DISC 2 VIDEO EXTRA

  • Paul McCartney  : commentaires audio
  • Strawberry Fields Forever

* version alternative

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Paul McCartney n’est plus la pop star la plus riche

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Selon le journal The Mirror, Paul McCartney n’est plus la pop star la plus riche du monde. Il est détrôné par Bono, le chanteur de U2 avec un pactole estimé à 1,3 milliards d’euros. L’ex-Beatle doit se contenter de 997 millions d’euros et Madonna se hisse à la troisième place avec 710 millions d’euros.

La fortune du chanteur irlandais vient surtout de ses actions Facebook qu’il avait acquis en 2009 pour 76 millions d’euros et qui lui ont donc rapporté plus de 900 millions d’euros.  En six ans, Bono a gagné plus d’argent grâce à son investissement que tout au long de sa carrière musicale. Cependant, n’oublions pas que chaque tournée de U2 rapporte également des profits colossaux.

Stella McCartney - Front Row - PFW F/W 2013